C'est un fake, mais il est vraiment réussi. Et en attendant le keynote d'Apple et de Steve Jobs demain, lors de la WWDC, il faut bien se mettre quelque chose sous la dent concernant le futur de l'iPhone. Dans le genre, un iPhone transparent, avec Leopard et un disque Solid State de 64G, ce serait pas mal, en plus de la 3G et d'un GPS.
Alors, annoncé ou pas demain, voici de quoi rêver pour l'avenir de l'iPhone d'Apple, que j'attends personnellement avec impatience.
Cette photo d'un iPhone Fake est issue d'un concours d'iLounge sur les plus belles photos et créations de faux iPhones. Les résultats sont parfois étonnants (d'autres sont merdiques, il faut le dire :-)).
DJ Earworm est un artiste sympathique qui oeuvre depuis lurette au sein du monde merveilleux des Bootlegs. Mais je viens de remettre la main sur une de ses anciennes productions qui prouve sans doute possible que ce monsieur n'est pas comme nous : il est directement influencé par les Klingons ! Pire, il est peut-être bien un extra-terrestre lui même pour réussir la prouesse technique que vous allez écouter : "Over the Confluence of Giants".
J'y ai ajouté un Mashup d'un japonais venant visiblement de la même planète que lui, mais avec un nez rouge.
Les oeuvres de pas moins de six artistes ont été nécessaire pour produire "Over the Confluence of Giants". Je ne dis pas que le résultat est une de ces merveilles musicales que vous embarquerez avec vous à la plage cet été pour en faire profiter vos voisins de serviette. C'est sûr, le résultat à un bon parfait d'(avant-)hier. Mais la prouesse technique et la qualité de la réalisation méritaient qu'on lui rende hommage.
Je vous laisserai ensuite juger si DJ Earworm est un être humain comme vous et moi, ou comme votre belle mère, ou même comme votre chien.
Voilà venir le petit Robbi, un gentil japonais étrange, qui fait chanter des moteurs électriques et fabrique plein d'autres trucs étonnants et complètement inutiles.
Il a notamment composé ce tube interplanétaire, rien qu'avec les sons proposés par Windows XP. Nimportaouak, mais amusant pour tuer le temps. Un Mashup, un vrai, qui mélange des trucs, mais pas des chansons.
Cela faisait longtemps, il méritait de revenir : Mozinor.
Après m'être inscrit au sein du groupe "Mozinor président" sur Facebook, il fallait que je remette un peu la rubrique Parodie au goût du jour sur le blog de Supertomate.
Alors on va y aller doucement, par petites touches parodiques. En commençant par la fête à Will Smith dans "I Robot".
Allez, m'sieur, fait pas le bâtard s'te plait, téma la vidéo !
J'ai découvert les Bootlegs avec une musique qui passait il y a quelques années sur les ondes de la radio rock. Je n'en était pas revenu à l'époque : ça ressemblait à du Green Day, mais ça n'en était plus vraiment. Allé ! Replongeons ensemble dans la douce madeleine de Proust.
C'est mélangé à une musique d'Oasis que j'ai découvert ce premier bootleg de Green Day. Un tout premier bootleg. Un peu ma référence en quelque sorte.
Le truc fonctionnait tellement bien qu'il m'a fallu un moment pour comprendre qu'il ne s'agissait pas d'une production commune des deux groupes en question.
Ce n'est pas que je sois excessivement fan de l'un ou de l'autre de ces deux groupes : je trouve le Boulevard of broken dreams du premier légèrement mièvre et les (anciennes) frasques de ce grand gaillard de Gallagher - chanteur du second - m'irritaient le gros orteil.
Mais, comment vous dire : le mélange prenait et fonctionnait. Et j'entrais dans un nouveau monde musical.
Alors allons-y : prenons et fonctionnons ... avec Party Ben
(il y a également Travis avec "Writing to Reach You", et un poil d'Aerosmith à la fin, juste pour donner du goût)
Et puisque nous sommes justement entre gens de bon goût, voici une toute autre version, plus moderne, du Boulevard of Broken Dreams de nos amis ricains. Pour le coût, on oublie un peu le côté rock de la chose en lui greffant quelques percus et autres cuivres sortis de chez notre producteur et ami Mark Ronson.
C'est en recherchant un bootleg de cette étrange Amy Winehouse que je suis, tout d'abord sur le site du DJ Fissunix, et ensuite sur une de ses réalisations étonnantes : une chanson de Christina Aguilera posée sur une des musiques de la bande originale d'Ocean's 13. Pas banal comme Mashup.
L'influence sixties-seventies a frappé. Et c'est Christina Aguilera qui a tout pris. Ocean's 13 est clairement pour moi le moins bon des trois films de m'sieur Ocean, mais la bande son reste bien bien riche. Toujours en suivant un esprit sixties très légèrement surannée (mais sans faute de goût), cette BO est remplie de pépites, comme pour les deux films précédents.
DJ Fissunix a su faire entrer au chausse pied la dame Aguilera dans cet univers là au sein de son Bootleg : Ain't no other Ocean's 13. Attention, ce n'est pas George Clooney qui joue de la musique, mais bien David Holmes.
Quand on n'a pas beaucoup le temps, et que celui qu'on a est sous l'influence des beaux jours d'un mois de Mai que l'on sent déjà un peu à la peine, on se dit que les bootlegs c'est bien joli, mais c'est pas avec ça que l'on va parfaire son bronzage agricole.
Alors faisons vite et propre avec un petit Mashup des familles mêlant le roi des chanteurs noirs aveugles (et encore vivants), Stevie Wonder, avec le groupe rock à la mode de Las Vegas, The Killers.
Alors là, pas de quartier avec DJ Lobsterdust. Il ne fallait d'ailleurs pas en attendre d'un gars qui a choisi un nom pareil. Imaginez un peu poudre de langouste. C'est pas un peu ridicule ça (ou over trendy) ?
N'empêche que là, le ridicule, il l'a laissé à sa maison australienne l'homme à la peau de langouste, et au fond d'un profond tiroir. Parce que ça sonne plutôt bien le mélange entre le beau ténébreux et les copieurs de U2.
Imaginez, Superstitious, un méga super tube international de 1972, qui sonne bon la musique de 1972. Et Jenny was a friend of mine, un petit tube de ce groupe qui était encore très à la mode chez les spécialistes Pop-Rock il y a deux ans.
En fait, difficile d'imaginer, il faut écouter. Alors écoutons.