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Enjeux - Les Echos : La réponse du directeur de la rédaction - une baffe et un bonbon

Voilà la réponse reçue aujourd'hui au mail envoyé hier à Enjeu - Les Echos, à propos de leur couverture.

Voici comment je perçois cette réponse :

1. C'est de ma faute. J'avais qu'à faire attention, et d'une, et j'avais qu'à savoir, et de deux
2. Mais comme j'ai l'air sympathique, j'ai droit à un cadeau quand même. "Allez, va, on oublie tout"

Dites moi ce que vous en pensez, vous...

Moi, de mon côté, je reste super déçu.

Monsieur et cher lecteur,
Je regrette que ce numéro n'ait pas répondu à votre attente. Je dois dire que je suis très surpris par votre réaction. "Devenir un bon manager" est un dossier annuel, qui a chaque fois un thème particulier, et ne prétend pas être exhaustif. Si vous aviez pris la peine d'ouvrir le numéro pour regarder le sommaire, vous vous en seriez rendu compte immédiatement. Il n'était absolument pas dans notre intention de faire croire à quiconque qu'il s'agissait d'un numéro spécial. Lorsque c'est le cas - en mars, par exemple - nous l'indiquons toujours en "Une".
Merci par avance de me faire parvenir vos coordonnées, de façon à ce que nous puissions soit vous rembourser, soit vous adresser gratuitement les trois prochains numéros, de façon à atténuer votre frustration.

Cordiales salutations,
François Lenglet
Directeur de la Rédaction

 

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Bootleg : Outkast + Depeche Mode + The Beatles = Idlewild Jesus Rigby

Par ToTom.

Et découvert via L'oreille en feu

IDLEWILD JESUS RIGBY

Bien sûr, je retirerai ce morceau musical si cette note s'avèrait illégale.

Les originaux

• Acapella
  Outkast "Idlewild"

• Acapella
  Depeche Mode "Personal Jesus"

Enjeux - Les Echos : Lorsque le marketing éditorial fait mal à la presse

Voici le mail que je viens d'envoyer à la rédaction d'Enjeux - Les Echos, en réaction à la Une du numéro de février. François Langlet est directeur de la rédaction.

Bonjour M. Lenglet,

Ce mail pour vous faire part de ma profonde déception après avoir acheté Enjeux Les Echos du mois de février.

Je concède que je ne suis pas un lecteur régulier de votre journal.

Mais, passant devant un marchand de journaux, je tombe face à une affichette qui interpelle immédiatement le petit manager que je suis. Cette affichette faisait en effet apparaître la Une du journal de ce mois-ci, sur laquelle trônait en gros et en gras :

"Édition 2007 : Devenir un bon manager"

Un titre qui est immédiatement perçu par le lecteur (extrêmement) occasionnel de votre journal que je suis en : "Enjeux - Les Echos vient de sortir un hors série dédié au management, aux règles de management et aux conseils pour mieux manager. La preuve, ils annoncent l'édition 2007 de ce hors série visiblement annuel".

Je suis intéressé pas l'achat d'une telle publication dédiée à un sujet qui m'interpelle. Je me rends chez un marchand de journaux. Le journal est en pile, bien visible, à une bonne place. J'en achète un exemplaire. "Et voilà", comme disent nos cousins anglo-saxon.

Et voilà, comme d'autres sans doute, je me suis fait berné.

Et je suis extrêmement mécontent. Car, en effet point de hors série, ni même de dossier exceptionnel : juste un dossier. Un petit dossier, qui fait un certain point, mais qui ne fait pas le tour de la question. Un sujet sur le management, pas inintéressant sans doute, mais tellement loin de mes attentes. Tellement loin de la promesse : "Devenir un bon manager". Non, un simple dossier d'actualité sur le management ne peut être considéré comme "Édition 2007 : Devenir un bon manager".

La manière dont cette Une est construite ne laisse place à aucun doute : vous vouliez faire croire qu'il s'agissait là d'un numéro spécial. Faire croire pour pousser à l'achat.

Et vous savez ce que c'est : lorsque la promesse marketing n'est pas tenue, le client a l'impression de s'être fait floué et est très mécontent. Parfois, il ne revient plus, restant arc bouté sur cette impression désagréable de s'être fait avoir par une marque, et que la marque ne l'y reprendra donc plus.

Se faire berner par une fausse promesse marketing est aujourd'hui monaie courante.

Mais de votre part, à vous groupe Les Echos, c'est une première pour moi.

Et bien vous ne m'y reprendrez plus, M. Lenglet. Vous apprendrez cela en apprenant les règles du marketing et en réalisant que les visions à court terme (faire acheter coûte que coûte un numéro du journal pour réaliser un bon chiffre) ne font pas du bien à une entreprise, et donc pas non plus à un journal. Vous apprendrez que tromper ses clients, ici ses lecteurs, c'est se tirer une balle dans le pied. Vous apprendrez que si acquérir de nouveaux clients coûte cher, convaincre d'anciens clients déçus de revenir coûte infiniment plus cher. Etc.

Bref, bien le bonjour chez vous.

 

 

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Technologie : Fabriquer son propre vidéoprojecteur de salon pour 12,5 euros

• Pourquoi s'embêter avec des produits de haute technologie qui tombent toujours en panne ou qui sont compliqués à utiliser ?
• Pourquoi dépenser une fortune quand un peu de bonne volonté et d'huile de coude suffisent ?
• Pourquoi vouloir toujours privilégier le design Up-To-Date alors que le Vintage revient en force ?
• Pourquoi jeter un vieux téléviseur et nuire à l'équilibre écologique alors qu'il peut encore vous servir ?
• Pourquoi rester le dernier à ne pas avoir un vidéoprojecteur pour regarder vos films préférés sur le mur de votre salon ?
• C'est vrai, pourquoi ?

Heureusement, Destockplus.com est là (même si l'idée originale vient de Patrick, de chez Keraldy Boutique). Pas bêtes, ces gars. Ils ont préparé un kit tout simple pour transformer votre vieux téléviseur cathodique pourri 55 ou 71cm en véritable vidéoprojecteur. Et tout cela pas pour 50 €, ni même 20 €, ni 15 €, mais seulement 12,5 € (frais de port compris). Et vous pouvez vous en tirer pour moins cher encore directement chez Keraldy Boutique.

Une loupe, quatre bouts de planche, du scotch, un coup de peinture ... et voilà ! Le tour est joué : ni vu ni connu, vous participez vous même à améliorer votre bien être en réutilisant vos vieilleries.

On se demande bien pourquoi personne d'autre n'y avait pensé avant.

Moi, je ne peux pas le faire, j'aurai trop honte ma télé est trop classe neuve.

 

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Bootleg : The Beatles + Black Eyed Peas + Ludakris + Pharell Williams + The Clipse + Kelis = Black Beatles

Par Loo & Placido.

BLACK BEATLES

Bien sûr, je retirerai ce morceau musical si cette note s'avèrait illégale.

Les originaux

• Acapella
  THE BEATLES 'Run for your life'

• Acapella
  THE BEATLES 'Girl'

• Acapella
  LUDACRIS feat PHARELL 'Fatty girl'

• Acapella
  THE CLIPSE 'Grinding'

• Acapella
  KELIS 'Caught out there'

• Musique
  BLACK EYED PEAS 'Let's get retarded'

Et il y a un peu de Craig David et des Nerds

Cool équitable : Allez dire bonjour à Monsieur Poulet

Vous qui aimez les fringues personnalisées en séries limitées, mais qui, dans le même temps, avez envie d'ajouter une corde équitable à votre arc de consommateur compulsif, voilà enfin la boutique qu'il vous faut : Monsieur Poulet.

"Monsieur Poulet est un site Internet participatif de vente de vêtements et d'accessoires issus du commerce équitable, où artistes et passionnés se rencontrent quotidiennement autour d'un concours permanent et rémunéré."

Monsieur Poulet, ça ressemble à La Fraise, avec les concours d'illustrations pour T-Shirt, mais, en plus, il y a un peu des sousous qui vont dans la poche de petits producteurs (qui savent faire des T-Shirts, mais pas les dessins).

Mais Monsieur Poulet, c'est aussi le temple du bon goût.

Enfin, Sylvain connait des gens de chez Monsieur Poulet, alors c'est chouette. Et encore bravo Sylvain.

Et sur leur Blog, il y a cette vidéo Max Havelaar présentant François Berléand en train d'apprendre le commerce équitable.

 

 

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Parodie audio : Polemix et la Voix Off

J'ai découvert Polémix & La Voix Off sur Radio Nova (je ne sais pas s'ils y officient encore) au travers de leur spécialité : le détournement de discours d'homme (et de femme, parité oblige) politique.

Le truc : on prend un ou plusieurs enregistrements de discours d'une même personne. On découpe tout ça. On mélange et on recolle en essayant d'y donner un nouveau sens et d'y faire apparaitre des messages cachés.

C'est à écouter sur leur site, directement, avec, par exemple, et pour n'épargner personnes :

Ségolène dans Royal Deluxe.

Nicolas dans Sarkoskunking.

François dans Bayrourier Noir se fâche!

Polémix & La Voix Off se sont fait depuis un ami comme tout le monde aimerait en avoir un : Bruno Candida. Merci à Sylvain et son oeil du tigre pour avoir repéré cette pépite de diamant.

Et il se trouve que Bruno Candida est candidat à la présidence de la république de France, rassemblant dans son programme ce qu'il se fait de mieux en terme de discours politiciens.

Il se dit que, comme ça, avec un peu de tout et de tout le monde, ça devrait passer.

A voir et à entendre.

Vidéo parodie : Le Producteur, selon Mozinor

Mozinor nous présente les problèmes professionnels de Christophe Lambert, qui nous prouve là encore que même avec quelqu'un qui lui met d'autres paroles que les siennes dans le gosier, il reste un très grand acteur.

Le producteur
envoyé par Mozinor

 

 

 

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Bootleg : NTM + The Doors = L.A. Woman dans ta Benz

Par DJ Moule.

L.A. WOMAN DANS TA BENZ

Bien sûr, je retirerai ce morceau musical si cette note s'avèrait illégale.

Les originaux

• Acapella
  Suprême NTM "Ma Benz"

(Je ne résiste pas à l'envie de proposer le lien vers les paroles)

Musique
The Doors "L.A. Woman"

Tags : des mots d'Amour de partout dans la capitale

  J'ai vu ses oeuvres de partout dans la capitale (même si je suppose qu'il oeuvre plus du côté de République et du Marais). Un mot, tagué sur les sols, sur les murs, sur les trottoirs, à l'arrière des voitures ... Un mot unique : Amour.

Son style est reconnaissable entre tous. Clair, léger, limpide, sûr de lui en même temps.

Un mot d'Amour écrit au marqueur gouache Poska blanc, qui disparait tout seul, sous les pas du passant ou à l'aide d'un simple chiffon. Un mot éphémère.

Un mot qui, chaque fois que je le découvre, par hasard, sous mes pieds ou sur un mur, me renvoie à mes propres sentiments, à ceux que j'aime.

 

Je viens de découvrir l'auteur de tous ces mots d'Amour, sous le pseudo de JLD, sur le blog Galienni Plastikblog. Mais, une fois identifié, je m'aperçois qu'il est partout : sur Culture Buzz, Mémoire vive, et ailleurs.

Certains parlent de lui comme d'un super-héro de la culture urbaine. Il a donc sa place ici :-)

Moi, j'aurai toujours aimé pouvoir le surprendre, un soir, au coin d'une rue, en train de laisser une trace et un trait d'Amour.

En attendant, je continue parfois de deviner son parcours imaginaire en suivant ses mots dans mon quartier.

   

J'espère juste que JLD ne veut pas dire Jean-Luc Delarue ou Jean-Louis David ... Ca m'ennuirait.